The Jazz Standard Project #10 : Mack The Knife (1928)
On plonge pour oublier nos derniers crimes Ce soir, tout est léger. ( Jimmy Giuffre / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #9 : Minnie The Moocher (1931)
On croirait presque à l'achèvement des rêves dans ces vapeurs d'opium Les docks, eux, nous attendent s'unissant à la pluie. ( Cab Calloway / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #8 : You And The Night And The Music (1934)
Peut-être que ça n'était pas si simple Peut-être qu'il faudrait en rester là Attendre que la brume dissipe nos regards Même si les souvenirs un soir, nous déjugeront. ( Bill Evans / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #7 : Misterioso (1948)
Sans cesse chercher l'issue pour croire à ce mystère qui nous échappera. ( Chet Baker / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #6 : Old Devil Moon (1946)
Le feu avance les autres, déjà, se sont enfuis On reste à l'attendre Comme une provocation La conviction intime qu'on pourra le dompter danser, et puis mourir. ( Miles Davis / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #5 : Django (1954)
La mer n'ose avancer Elle voudrait renouer dissimulant sa houle Demandant à ses vagues de ne pas faire de bruit Que l'on tente sans crainte Et que l'on se retrouve la tête posée sur son épaule. ( MJQ / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #4 : You Don't Know What Love Is (1941)
Une larme Gorgée de ton sourire Ne dis pas Si je dois pleurer. Mais doucement. ( Chet Baker / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #3 : Lullaby Of Birdland (1952)
On sait bien que ça subsiste Mais le vent nous indique un déploiement possible dans le cœur des forêts Peut-être que la pierre se laissera entraîner. ( Sarah Vaughan / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #2 : Frenesi (1939)
Matador titubant il esquive les heures Il oublie que la ville ne tient pas son secret. ( Gerry Mulligan / Poème de Stéphane Bataillon )
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The Jazz Standard Project #1 : My Funny Valentine (1937)
Retenir cette larme aux commissures des lèvres juste avant que le sel Juste avant que le mot ne puisse déborder. ( Chet Baker / Poème de Stéphane Bataillon )